Les pessaires « cube » sont des dispositifs en silicone que l’on introduit dans le vagin pour limiter la descente des organes. Nordik Nature, site spécialisé dans la rééducation du périnée, vous propose de découvrir une sélection de pessaires cubes.
Qui prescrit un pessaire cube ?
Particulièrement recommandés dans les cas de prolapsus (plus communément appelé descente d’organes), les pessaires sont à utiliser uniquement sur recommandation de votre médecin, de votre kinésithérapeute ou de votre sage-femme. Seul un professionnel de santé peut vous indiquer quelle forme et quelle taille de pessaire correspond à votre anatomie et à votre degré de prolapsus.
Les pessaires cubes (avec les pessaires anneaux) restent les dispositifs les plus prescrits à l’heure actuelle.
Les 6 faces concaves du pessaire cube permettent une bonne « adhérence » du dispositif aux parois vaginales. Elles favorisent ainsi une meilleure action de soutien des organes. Les perforations facilitent l’évacuation des sécrétions vaginales.
Quelle taille correspond à un vagin étroit ?
La taille 1 correspond à une petite taille, plus adaptée aux vagins les plus étroits. Plusieurs essais de tailles (ou même de modèles) peuvent s’avérer nécessaires avant de trouver le dispositif le plus confortable et le plus efficace. Il faut souligner que le port d’un pessaire ne doit jamais provoquer d’inconfort, encore moins de douleur. Bien au contraire, il doit soulager quasi immédiatement toutes gênes dues aux sensations de boule dans le vagin. En effet, les organes se trouvent remontés et stabilisés par le dispositif intravaginal.
Il est important de rappeler qu’un pessaire n’est en aucun cas un moyen curatif du prolapsus. Ce dispositif médical reste néanmoins le traitement de première intention recommandé pour les problèmes de descente d’organe. En complément d’une rééducation périnéale, il contribue à améliorer la qualité de vie des femmes au quotidien. Il peut être utilisé simplement dans les cas où la chirurgie n’est pas possible et permet aussi, le plus souvent, de retarder l’intervention chirurgicale.